Catgirl vous propose:
2 témoignages d'escorts à Genève
1. Un mauvais souvenir de son premier rendez-vous d’escort à Genève
Juste après le collègue et ma maturité en poche, ma petite amie a trouvé un travail d'escort à Genève. Cela m’allait, je n’étais pas jaloux car je savais que l’argent était sa seule motivation. C'était à l'époque où les bipeurs étaient à la mode. Je l'ai déposée au travail le premier soir dans un quartier de Genève. L'endroit se trouvait dans un centre commercial, un petit local qui ressemblait à une agence de voyage ou à un magasin d'assurance à moitié vide. Il n'y avait que des escorts outcall, donc on ne pouvait pas savoir qu'il s'agissait d'un service d'escort. J'ai traîné en ville, parce qu'elle m'a dit qu'elle me biperait si elle avait besoin que je vienne la chercher.
Elle m'a bipé assez rapidement. Je suis allé la chercher et nous sommes allés prendre un café au McDonalds. Elle était dans un état lamentable. Elle m'a dit qu'elle leur avait dit qu'elle prenait une pause. Mais elle voulait que je la ramène chez elle. Elle n'y retournait même pas pour être payée alors que justement c’est le but d’une escort à Genève.
Elle est allée en déplacement chez un autre homme. L’agence genevoise avaient des types qui ressemblaient à des videurs pour conduire les escorts. C'est ainsi qu'un type l'a conduite à la maison d'un autre client genevois et a attendu dehors dans la voiture. Le client voulait manifestement avoir des relations sexuelles. Elle a été totalement prise au dépourvu. Honnêtement, je ne pense pas qu'elle savait qu'elle était une escort qui pratiquerait le sexe. Elle pensait qu'elle allait être une escorte du genre sortir en ville pour un rendez-vous. Elle avait même mis l'une de ses plus belles robes.
Pour faire court, elle a fini par regarder le type se masturber avant de s'enfuir de l'endroit et de se faire ramener à l’agence de Genève. Je l'ai ensuite récupérée et elle n'y est plus jamais retournée. Ce dont je me souviens le mieux, c'est lorsqu'elle m'a décrit la situation. Elle était désabusée, incrédule. Il y avait des photos de sa femme sur les murs. Des photos de sa famille.
14. Une pipe pour mon premier client d’escort à Genève
Je me souviens de la première fois où j'ai accepté de l'argent pour du sexe à Genève. Un gars m'a envoyé un message sur un site de rencontre érotique. J'avais 17 ans à l'époque, 18 sur mon profil. Je ne savais pas si je voulais faire escort de métier ou plutôt occasionnelle. Cet homme, dans les 60 ans, m'a proposé 100CHF pour que je le suce. J'ai tout de suite su que je n'étais pas d'accord.
J'ai répliqué que je le ferais pour 200CHF et qu'il devait me laisser regarder du porno pendant que le faisait. "Tu peux l'avaler?" il m’a demandé. Euh ouais, bien sûr.
Je suis donc allé chez lui en dehors de Genève. Aujourd'hui, en tant qu'adulte de 30 ans, je me dis que ce type aurait pu m'assassiner. Il aurait pu me violer. Il aurait pu couper ma peau pour la porter comme une robe. Mais il n'a fait aucune de ces choses. Il m'a mis du porno, très utile car il ne m'attirait pas du tout. Il a sorti sa bite, j'ai commencé à le sucer. Et il a fini par jouir dans ma bouche.
Il m’a donné mon argent et m’a dit: "Tu voudrais revenir un autre jour ?" Euh oui, bien sûr. Je me rendais donc chez lui environ une fois par mois. Il jouissait. Me payait. Répéter.
Quand j'ai déménagé pour aller à l'université de Genève, j'ai trouvé des types similaires. Des vieux. Des hommes gros. Des hommes particulièrement laids. Ils voulaient juste jouir et éjaculer. C'est donc ce que je leur ai vendu, une chance de les faire jouir par une belle escort à Genève. Pardonnez la vulgarité. Il s'agissait de laisser ces gars fantasmer sur le fait qu'ils m'avaient eu sans payer. J'ai vite appris qu'ils étaient plus heureux si je pouvais leur faire sentir qu'il ne s'agissait pas d'un échange.
Mon meilleur souvenir est celui d'un homme qui ne voulait même pas cela. Il voulait quelqu'un avec qui se blottir, contre qui se frotter. Nous sommes restés en sous-vêtements. En fait, je me sentais bien à l'idée de lui rendre visite parce que ce n'était pas aussi dégoûtant. Il voulait juste un contact humain. Et je le lui ai donné. Pour un certain prix, mais je le lui ai donné.