Les escorts de Genève contre la solitude
Tout le monde peut, à un moment donné, chercher du réconfort auprès d’un amoureux, d’un ami, d’un partenaire de travail ou d’un proche. La solitude peut être un de ces moments. Prenons le cas de Natacha. Elle était parmi les escorts les mieux rémunérées de Genève, avec des tarifs atteignant 1’000 francs de l’heure à la fin de son parcours. Pour elle, tout était question de connexion. Nous l’avons rencontré et elle nous a déclaré:
« J’ai compris que cet homme ne cherchait pas uniquement le plaisir physique. Beaucoup pensent y aller uniquement pour cela, mais, à ma surprise, il m’a confié son histoire, et nous avons discuté de nombreux sujets. On aurait dit qu’il ne souhaitait pas s’en aller, voulant continuer notre conversation. »
Une escort comme oreille attentive
Avant de se lancer dans l’escorting à Genève, Natacha n’avait jamais vraiment écouté les hommes exprimer leurs émotions. Cependant, elle a rapidement compris que sa position offrait aux hommes une plateforme pour s’ouvrir car ils ne se sentaient pas jugés. Pour certains, Natacha était une oreille attentive.
Elle rappelait à ses clients qu’il serait peut-être plus économique de voir un thérapeute plutôt qu’elle. Néanmoins, la peur du jugement les rendait plus enclins à se confier à elle. Elle a déduit que certains hommes voient les travailleuses du sexe à Genève comme un refuge, car dans leur nudité, ils partagent une vulnérabilité. Ainsi, vers la fin de sa carrière, Natacha révèle qu’elle n’était pas uniquement sollicitée pour l’aspect physique, mais souvent pour sa présence. Pour une simple sortie sur Genève ou même une simple conversation.
Un échappatoire bienvenu des escorts
Elle nous révèle aussi que la solitude peut pousser certains actes, mais avec une mise en garde. Il est essentiel de ne pas laisser le sexe devenir un palliatif à la douleur. La morale: ceux qui font appel à des escorts à Genève devraient éviter de dépenser plus qu’ils ne le peuvent. Dans son cas, il pourrait être bénéfique de consulter un spécialiste du deuil tout en prenant du recul. Cela ne signifie pas qu’il devrait renoncer aux services d’une escorte si cela le soulage. Mais il pourrait explorer d’autres formes d’assistance.
Libérer les frustrations des clients d’escorts à Genève
Un autre de ses clients a déclaré qu’il voyait des escorts genevoises parce que depuis la naissance de son fils de 12 ans, sa femme ne voulait plus avoir de relations sexuelles. Il lui a pourtant affirmé qu’elle était jeune, jolie et bonne dans son travail, et le sexe tarifé soulageait sa frustration. Mais il se sentait vraiment coupable. Il n’y allait que parce que sa femme le poussait. En fait, sa relation avec sa femme s’est dégradée et il lui est conseillé de la réparer.
Manque de temps
Il existe également d’autres raisons d’engager des escorts à Genève. Avec des milliers de cadres de haut niveau travaillant dans la ville au sein de diverses sociétés financières, informatiques et juridiques, est-il surprenant que de nombreux cadres n’aient pas le temps de nouer des relations à long terme?
Valentine, directrice d’une agence d’escort à Genève, nous a dit : « Nos clients vont des célébrités aux avocats et des directeurs de sociétés privées aux cadres supérieurs des banques. Tous ces clients ont une chose en commun. Ils n’ont pas le temps d’entretenir des relations conventionnelles et recherchent donc des escorts discrètes de première qualité pour les accompagner lors des événements auxquels ils doivent assister sur Genève.
Les escorts de Genève peuvent donc devenir des conseillères, des compagnes intelligentes lors d’événements professionnels ou des acolytes amusantes pour assister à des spectacles. Pour beaucoup, il peut s’agir de sexe, mais ce n’est pas toujours le cas. Certains ont simplement besoin de parler sans jugement. La discrétion est de mise. Cependant, les conseillers traditionnels viennent souvent avec leur propre bagage, et certains ne sont pas très doués pour laisser leurs préjugés derrière eux. Sortir avec une escorte professionnelle se fait sans préjugés, et souvent sans le bagage d’une relation conventionnelle.