Témoignages d'escorts de Fribourg

1. Première femme en tant qu’escort lesbienne à Fribourg

Je suis une escort lesbienne qui habite près de Fribourg. Mon premier jour de travail n'a pas du tout été ce à quoi je m'attendais. J'avais des amies dans le secteur de l’escorting et je savais donc déjà à quoi ressemblait un travail normal. C'est la même chose quel que soit le sexe.

Lors d'une réservation typique sur Fribourg, on se rencontre, on discute un peu, on règle les affaires, on demande au client de se doucher, puis on se met au travail. Pour moi, cela inclut généralement un massage, des préliminaires, du sexe et pas mal de conversation. Bref un travail normal d’escort.

Pour ma première réservation en tant qu’escort, j'ai reçu un courriel d'une fille qui disait en gros ce qui suit: "Bonjour, j'aimerais vous réserver comme cadeau d'anniversaire pour l’anniversaire surprise de mon amie".

Pas de souci, je peux le faire. Je suis arrivée tôt à Fribourg pour aider ces filles à préparer la surprise et elles sont toutes incroyablement séduisantes. La fille qui m'a engagée m'a alors lâché cette bombe: "Oh, au fait, toutes les filles sont des escorts ou des strip-teaseuses.

Je ne savais plus où j'en étais. J’ai fais de mon mieux pour rester calme et posée. Nous nous amusions toutes avant que la fille de l'anniversaire n'arrive. Elles se sont toutes révélées être des filles charmantes et nous avons tous passé une bonne soirée. Il n'y a pas eu de sexe proprement dit, mais il y a eu quelques manigances.

En fin de compte, c'était vraiment une expérience qui sortait de l’ordinaire mais une expérience que je n'oublierai jamais en tant qu’escort.

2. Un premier rendez-vous à Fribourg qui ne devait pas être un rendez-vous d’escort

Lors de ma première et unique expérience en tant qu'escort à Fribourg, je n'avais pas réalisé que je l'étais.

J'avais l'habitude de faire du mannequinat de temps en temps pour des photographes de mariage et des salons de coiffure situés à Fribourg ou aux alentours. J'ai donc quelques photos qui circulent sur différents sites web de mannequinat et d'images de stock. Un jour, j'ai reçu un courriel d'un photographe qui me disait qu'il s'entraînait au dessin et qu'il avait besoin d'un modèle nue pour s'entraîner à la forme. Il m'a dit qu'il avait un studio près de Fribourg qu'il pouvait réserver et qu'il me paierait 800CHF pour deux heures.

J'économisais pour acheter un billet d'avion afin de venir voir mes parents pendant les vacances de printemps. Je me suis dit que ce serait un moyen facile de me faire des relations dans l'industrie artistique et de gagner un peu d'argent. Nous avons convenu d'une heure, il m'a donné son numéro et nous avons parlé au téléphone pour vérifier la voix ainsi que le studio dans lequel nous allions travailler.

Lorsque je suis arrivé au studio à Fribourg, il m'attendait et m'a dit que le studio était complet pour la nuit. Il m'a donc demandé si je voulais manger un peu et aller à l'hôtel pour que nous puissions poser et dessiner sur place. J'ai accepté.

Nous avons dîné, discuté de l'église de Fribourg et de ce que j'étudiais à l'université. Puis nous avons pris une chambre d'hôtel bon marché en dehors de Fribourg.

J'ai fini par me mettre nue et il m'a demandé d’écarter les jambes pour dessiner aussi mon vagin. J'ai répondu par l'affirmative et il m'a demandé s'il pouvait m'aider. J'ai d'abord refusé, mais il a fini par dire qu'il voulait m'aider. Il s'est approché de moi et a commencé à me caresser. Je ne savais pas quoi faire car il était beaucoup plus grand que moi. J'ai commencé à essayer de me lever, mais il s'est couché sur moi et ne m'a pas laissé bouger. Il n'arrêtait pas de me dire "chut" et de me dire que tout allait bien se passer et qu'il me ramènerait à mon dortoir dans une heure.

J'ai renoncé à me débattre et il a mis ses doigts dans mon vagin tout en s'allongeant sur moi et en me maintenant au sol. J'étais tellement effrayée que j'ai joui en deux minutes. Je n'ai rien dit quand il s'est levé, il m'a jeté mes vêtements et m'a dit "Rentrons à la maison".

Il m'a raccompagnée sur Fribourg en silence et, alors que je commençais à sortir de la voiture, il m'a pris le bras et m'a dit : "J'espère que tu t'es bien amusée, je te ferai savoir si j'ai besoin de m'amuser davantage à l'avenir". Et il a déposé quatre billets de 200CHF sur le siège.

Je suis retournée dans mon dortoir et j'ai pleuré, ne sachant pas si je venais de devenir une escort ou si j'avais été agressée sexuellement. Parfois il me contacte. J'ai reçu quelques messages de lui alors qu'il était ivre, mais je les ignore et j'essaie d'oublier.

3. Une première fois horrible en tant qu’escort à Fribourg

Cela semble horrible, mais j'avais tellement besoin d'argent que j'ai fait un profil sur un site d’annonces érotiques. C'était évidemment stupide et dangereux mais j'avais 17 ans et je n'y ai pas réfléchi. En gros, j'ai demandé aux gens d'enchérir pour savoir avec qui j'irais. J'ai fini par faire 45 minutes de vélo depuis Fribourg pour rencontrer un type qui m'a ensuite conduit chez lui. Encore une fois, c'était stupide. Je n'arrive pas à croire que je ne sois pas mort cette nuit-là. Ce type avait environ 50 ans, il fumait beaucoup de cigarettes et sentait l'alcool. Je lui ai dit que j'avais 19 ans, tellement stupide.

Il m'a payé 200CHF de l'heure pour trois heures. Il a fumé quelques cigares a parlé de jazz, puis, de manière très effrayante, il a parlé de mes seins. Je l'ai branlé pendant 30 minutes avec cette horrible lotion parfumée à la rose. Je l'ai sucé et nous avons finalement fait l'amour. J'étais impressionnée par le fait qu'il ait pu le faire dans un tel état et je me suis dit qu'il devait être sous l'emprise de quelque chose d'autre. C'est surtout ce à quoi j'ai pensé pendant tout ce temps.

Je ne l'ai pas senti quand il a joui parce que j'étais trop préoccupée à faire bonne figure. C'était gênant, mais il n'a pas semblé le remarquer. Quand je l'ai quitté, il n'y avait pas de préservatif sur son pénis et j'ai paniqué jusqu'à ce que je me rende compte qu'elle était toujours en moi.

Nous avons traîné un peu. Il a dormi et j'ai essayé de ne pas vomir, puis il m'a ramenée à mon vélo et m’a donné l’argent promis. Je suis rentré à Fribourg à toute vitesse. Dans l'ensemble, ce n'est pas une première expérience si horrible, mais elle n'est pas non plus merveilleuse. Il m'a rappelé plusieurs fois mais je n'y suis jamais retourné.